Avec le déconfinement se pose la question d’une mobilité respectueuse de la distanciation physique et des précautions sanitaires.
Dans les transports en commun, le nombre de places est limité et pourrait le rester durant des semaines. Alors, pour éviter la multiplication des voitures sur les routes, les villes et communes sont invitées à accélérer la mise en place d’aménagements (temporaires ou non) qui assurent le confort et la sécurité des piétons et des cyclistes.
Fin avril, la ministre bruxelloise de la mobilité annonçait ainsi un plan vélo incluant 40 km supplémentaires de pistes cyclables en Région bruxelloise. Avec pour ambition d’équiper la capitale de véritables corridors cyclables qui permettent aux Bruxellois et aux navetteurs de rejoindre leur destination en toute sécurité.
Côté wallon, le ministre Henry en charge de la mobilité a également prévu des aides financières pour soutenir les communes qui aménagent des espaces sécurisés pour la mobilité douce. Plusieurs villes wallonnes (Liège, Charleroi, Namur…) ont déjà répondu à l’appel et offrent désormais plus de place aux piétons et aux vélos.
Pour soutenir les réflexions brassées par cette thématique, le réseau des Conseillers en Mobilité de Wallonie a élaboré une série de présentations, conseils et fiches pratiques. Elles intéresseront tous les acteurs de terrain, y compris syndicaux, qui se préoccupent de mobilité douce.
Retrouvez ces outils dans ce workshop virtuel sur le Portail de la mobilité en Wallonie.