Plus de 10.000 décès prématurés en Belgique sont dus à la pollution de l’air. Des mesures urgentes sont indispensables.
Une mauvaise qualité de l’air a également de fortes répercussions sur l’économie, car elle augmente les coûts médicaux, diminue la productivité des travailleurs et a un effet néfaste sur les sols, les récoltes, les forêts, les lacs et les rivières.
En ce début décembre, le Gouvernement wallon a adopté l’avant-projet de décret du Ministre wallon de l’Environnement et de la Transition écologique Carlo DI ANTONIO relatif à la lutte contre la pollution atmosphérique liée à la circulation des véhicules thermiques. Le texte comprend des mesures visant la création de zones de basses émissions et une restriction progressive du parc diesel.
Plus d’informations sur cet avant projet
Signalons que ces types de mesures sont en œuvre dans le centre-ville d’Anvers depuis février 2017 et entreront en vigueur à Bruxelles dès ce 1er janvier 2018.
Des solutions complémentaires existent pour améliorer la qualité de l'air en lien avec le parc automobile : réduire le nombre de voitures, leur taille, le nombre de km parcourus, et la vitesse par exemple, auraient un impact certain tout en assurant probablement plus d'équité.