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Newsletter n° 56 - Environnement

Newsletter n° 56 - Environnement

Cellules RISE et Mobilité du CEPAG Décembre 2022 Au sommaire : La Semaine Européenne de Réduction des Déchets Les plus et les moins de la COP 27 en Egypte Le capitalisme : arme de destruction massive de la biodiversité J'ai lu pour vous : « The Shift Project » – Le plan de ...

Publié le 13/12/2022

Cellules RISE et Mobilité du CEPAG

Décembre 2022


Au sommaire :

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La Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD) 2022

Cette année, la thématique mise à l’honneur lors de la SERD était « Les textiles ».  Nous avons proposé aux délégués du Rézo et sur notre site internet un quiz spécial « textiles ».  Vous pouvez le retrouvez ici avec les réponses

Les délégations qui ont participé : SGS et Belfius ont pu offrir aux gagnants de jolies lunch box durables afin de rester dans le concept : réduire, réutiliser et recycler.

Les midis de la Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD) chez SGS…

Ça a bien bougé chez SGS pendant la Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD) ! Isabelle, déléguée et éco-conseillère a organisé avec son éco-team un temps de midi autour de la thématique des textiles mise à l’honneur cette année par la SERD. Une vingtaine de personnes ont participé à cette animation avec à la clef la visualisation de trois petites vidéos. S’en est suivi un débat et finalement, une participante est venue avec quelques-unes de ses créations personnelles de « Récup’textiles ».

Lors du débat, quelques réflexions, questions, pistes à propos des textiles ont émergé. En effet, que les fibres soient naturelles ou synthétiques, les textiles génèrent beaucoup de pollution pendant tout leur cycle de vie. La culture du coton demande de grandes quantités d’eau, de pesticides (une majorité de la production n’est pas bio), les vêtements voyagent beaucoup avant de se retrouver dans nos armoires, lessiver du polyester génère des microparticules de plastiques qui finissent dans les cours d’eau puis dans les océans…

Conscients de tout ceci, nous nous sentons parfois bien démunis ; alors que faire en tant que consommateur ?

Voici quelques pistes qui ont émergé lors de ce « midi du textile » 

  • Se référer aux labels existants.
  • Donner, revendre les vêtements dont on n’a plus besoin.
  • Si le « deuxième main » ou le « je te les prête » fonctionne bien pour les enfants, ce n’est pas toujours le cas pour les vêtements d’adulte, alors pourquoi ne pas oser les nippes ?
  • Réinventer la façon de s’habiller, même lorsque l’on est une « fashion victime », en louant des toilettes que l’on n’a pas envie de porter deux fois…
  • Et pourquoi ne pas se mettre à la confection…

C’était justement la proposition de Gwenaëlle qui est venue avec des exemples de ce qu’elle réalise. Oh, elle le dit elle-même : « Je ne suis pas une grande couturière mais petit à petit, je m’y suis mise et ai découvert que les textiles en mode récup, ce pouvait être très amusant ! ».  Et de nous montrer quelques-unes de ses créations : un vieux jeans tout troué qui a été customisé pour en faire un jeans plus original que l’original ! Et période de Noël oblige, elle nous montre des furoshiki … mais oui vous savez bien, ces emballages cadeaux en tissu que vous pouvez soit offrir avec les cadeaux, soit récupérer pour la prochaine fête.

Et ce n’est pas tout : boules pour le sapin, chaussettes pour la cheminée, doudou déguisé en père Noël… c’est drôle à créer, écologique et joli à regarder.

Merci à toute l’équipe syndicale et à tous ceux qui nous ont rejoints pour ce midi en mode réduction des déchets qui a été à la fois un moment de réflexion et de distraction…

Vu le succès de l’initiative, un rendez-vous a été pris la semaine suivante pour un midi « Repair-café » ! Et ils l’ont fait ! Deux représentantes du Repair-café de Wavre sont venues expliquer leurs actions en terme de réparation de petits électro-ménagers et de couture.

Gageons que d’autres initiatives verront le jour en 2023 !

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Les « plus » et les « moins » de la COP 27 en Egypte

La COP 27 a abouti à la reconnaissance d’un financement pour les pertes et préjudices, à savoir les dégâts du réchauffement auxquels on ne peut plus s’adapter. Pour le reste, la sortie des énergies fossiles n’est toujours pas à l’ordre du jour.

Ne nous fourvoyons pas, il n’était pas question de penser que la COP 27 qui s’est déroulée du 6 au 20 novembre en Egypte allait aboutir à des avancées exceptionnelles en matière de résolution des problèmes climatiques.

Néanmoins, voici un petit bulletin des points qui ont avancé… ou pas.

Le renforcement de l’ambition :   - 

Malheureusement, en termes d’ambition climatique, le résultat est décevant. Limiter l’augmentation de la température moyenne de la planète nécessite une réduction de 43 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 en comparaison à 2019. La crise énergétique couplée à la guerre en Ukraine et la présence massive de représentants des industries fossiles n’ont pas aidé.

La finance climat :    -

Il faudrait investir environ 4.000 milliards de dollars par an dans les énergies renouvelables d'ici à 2030 pour parvenir à des émissions nettes nulles d'ici à 2050. En outre, la transformation mondiale vers une économie à faible émission de carbone devrait nécessiter des investissements d'au moins 4 à 6.00 milliards de dollars par an. Malgré l'urgence de la situation, aucun progrès n'a été réalisé lors de la COP 27 en ce qui concerne la mobilisation des fonds nécessaires à la lutte contre le changement climatique, en raison des divergences de vues entre les pays en développement et les pays développés.

L’adaptation :   -/+

En ce qui concerne l’adaptation, de légers progrès ont eu lieu au niveau de l’approfondissement du contenu des politiques à mener et des processus. Cependant, le programme de travail Glasgow-Sharm el-Sheikh sur l'objectif mondial en matière d'adaptation, adopté lors de la COP26, n’a pas avancé.

Dans ce débat, le mouvement syndical mondial plaide pour une plus grande attention à la nécessité de mesures de protection sociale. Plus de 4 milliards de personnes dans le monde ne bénéficient d'aucun type de protection sociale. Les plus vulnérables dans le Nord et le Sud du monde doivent avoir accès aux soins de santé, aux allocations de chômage et à d'autres prestations de protection sociale pour faire face à l'impact de la crise climatique qui met en danger leur travail et leurs moyens de subsistance.

La transition juste :   +/-

La décision de mettre en place un programme de travail sur la transition juste comprenant une table ronde ministérielle annuelle de haut niveau a représenté une reconnaissance supplémentaire de ce concept. Par ailleurs, pour la première fois que les négociations de la CCNUCC (Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques) font référence à la nécessité d'un dialogue social : « Les solutions durables et justes à la crise climatique doivent être fondées sur un dialogue social significatif et efficace et sur la participation de toutes les parties prenantes ». Il s'agit d'une étape importante pour les syndicats.

La référence au fait qu'une transition juste et équitable doit « inclure la protection sociale afin d'atténuer les impacts potentiels associés à la transition » constitue une autre avancée.

Le volet pertes et préjudices :   +

La création d’un fonds pour les pertes et préjudices a été l’avancée majeure de la COP 27 ! Il s’agit d’une priorité pour les pays pauvres qui supportent déjà l’énorme impact de la sècheresse, des inondations et autres événements climatiques alors qu’ils n’y ont pas contribué et qui est réclamée par les petits Etats insulaires depuis les années 1990. Il s’agit, à présent, de rendre ce fonds opérationnel.

Les appels à la réforme du processus massif de la COP, avec un record de 45.000 délégués participant aux négociations, se sont multipliés cette année au vu de la manière dont les négociations ont été menées à l'organisation du lieu de la conférence.

Bref, l’an prochain, la COP 28 se réunira à Dubaï dans les Emirats arabes unis avec comme chaque année beaucoup d’espoir .

« Le pied toujours enfoncé sur l’accélérateur, nous continuons à rouler sur cette autoroute vers l’enfer climatique. (…) L’humanité a le choix : coopérer ou sombrer. Un choix entre un Pacte de solidarité climatique – ou un Pacte pour un suicide collectif »
António Guterres , Secrétaire général des Nations Unies, à la COP 27.

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Le capitalisme : arme de destruction massive de la biodiversité

La biodiversité illustrée en quelques chiffres :

  • 60 % des populations de vertébrés ont disparu depuis 1970 ;
  • un millions d’espèces végétales et animales sont menacées d’extinction dans les prochaines décennies ;
  • 75 % de la surface terrestre a déjà été altérée par les activités humaines ;
  • au moins 150 millions de tonnes de plastique ont été déversées dans les océans ;
  • 437 millions d’hectares de forêts ont été perdus depuis 2000 ;
  • plus de la moitié du PIB mondial dépend de la santé des écosystèmes.

L’existence même de l’humanité dépend de la qualité des écosystèmes : épuration des eaux, protection contre les inondations, séquestration du carbone, pollinisation des cultures, … 60.000 plantes et champignons sont utilisés pour leur valeur médicinale dont 40 % sont directement menacés d’extinction, mettant en péril nos approvisionnements et la santé humaine. L’industrie agro-alimentaire est également directement menacée par la destruction de la biodiversité.

Face à cette situation catastrophique, la conférence des Nations unies sur la biodiversité qui se tient à Montréal du 7 au 19 décembre 2022 (COP 15) a pour ambition l’adoption d’un plan d’action mondial permettant d’éviter une sixième extinction de masse. Cette conférence aurait dû avoir lieu en octobre 2020 à Kunming, en Chine mais a été reportée à quatre reprises en raison de la pandémie.

A l’origine, la Convention sur la diversité biologique a été signée par 196 pays en 1992 lors du Sommet de la Terre à Rio en même temps que la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) avec trois objectifs :

  • la conservation de la biodiversité ;
  • l’utilisation durable de ses éléments ;
  • le partage juste et équitable des avantages découlant de l'exploitation des ressources génétiques.

Les COP qui réunissent les représentants des Etats signataires se réunissent tous les deux ans.

Lors de la COP 10, qui s’est tenue à Nagoya au Japon en 2014, un plan stratégique avait été adopté pour la période 2011-2020, décliné en 20 sous-objectifs quantifiés, dénommés les objectifs d’Aichi en référence à la préfecture japonaise du même nom. Parmi ces objectifs figuraient notamment la réduction de moitié de la perte d’habitats naturels, l’extension des aires terrestres protégées à 17 %, la mise en œuvre de plans de production et de consommation durables, …

Malheureusement, ces objectifs n’ont pas été atteints même si ce cadre international a permis d’encourager quelques initiatives comme la mise en œuvre au niveau de l’Union européenne du réseau Natura 2000.

Les principales causes de la perte de biodiversité sont l’agriculture et l’urbanisation mais aussi la surexploitation (surpêche, braconnage, abattage excessif de bois de chauffage, épuisement des terres agricoles, …), les changements climatiques, la pollution, la prolifération d’espèces invasives, …

A l’ordre du jour de la COP 15 figure notamment l’élimination du financement d’activités nuisibles à l’environnement. En lien avec cet aspect, l’Union européenne a adopté le 6 décembre un règlement conditionnant l’importation sur le territoire européen de huit produits (viande bovine, cacao, café, huile de palme, soja, bois, caoutchouc et charbon de bois) à l’absence d’impact sur la déforestation et au respect des Droits de l’Homme. Il s’agit d’une avancée, dans la mesure où les importations européennes sont responsables d’environ 16 % de la déforestation mondiale. Hélas, les investissements réalisés par le secteur financier dans des sociétés accusées de déforestation n’ont pas, pour l’heure, été intégrés dans le texte.

En ce qui concerne la Wallonie, elle revendique au côté de près de 120 pays la protection de 30 % des mers et des terres d’ici 2030, la gestion durable intégrant la biodiversité pour les 70 % restant de la planète incluant la restauration, la réduction de 50 % au moins de l’utilisation des pesticides et des engrais, la réduction de l’empreinte écologique des déchets.

Néanmoins, sans une profonde remise en cause des modèles de production et de consommation, les mesures de protection de suffiront pas.

On peut regretter également que les questions de biodiversité et de changements climatiques soient toujours abordées séparément au niveau des Nations unies dans la mesures où il s’agit de problématiques intimement liées, la dégradation de la biodiversité affectant notamment les cycles de l’eau et du carbone accélérant, de ce fait, le changement climatique et vice-versa.

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J’ai lu pour vous : « The Shift Project » – Le plan de transformation de l’économie française

80 % de l’énergie consommée dans le monde est fossile. Mais ces sources d’énergie présentent deux inconvénients de taille :

  • d’une part, la combustion d’énergies fossiles – à savoir pétrole, gaz et charbon – émet des gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère responsables des changements climatiques ;
  • d’autre part, elles sont amenées à se tarir inévitablement. 

Idéalement, nous pourrions imaginer que la nature est bien faite et attendre que ces énergies aient toutes été consommées et que les émissions finissent par diminuer d’elles-mêmes.

Seulement voilà, il y a une erreur de timing : si nous attendons la fin de l’ère fossile, nous dépasserons largement les 2 °C d’augmentation de température moyenne sur terre. D’après les scientifiques du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), pour limiter le réchauffement à 1,5 °C, il faudrait laisser 60 % du pétrole et du gaz dans le sol, et 90 % du charbon. La seule solution est, par conséquent, de décarboner nos économies.

Alors, avez-vous envie de vous projeter dans une société où l’économie est décarbonée et de comprendre comment c’est possible ? Dans ce cas, lisez « Le plan de transformation de l’économie française » du Shift Project, groupe de réflexion sur la transition énergétique afin de répondre aux défis climatiques et énergétiques que nous vivons.

Et imaginez-vous … en 2050 … en France …

L’urbanisme aura évolué afin de privilégier des déplacements courts, le numérique sera disponible pour faire des visio-conférences et pour le télétravail, la voiture électrique, micro et en « mode covoiturage » ne sera plus la reine de la route, laissant une part belle aux vélos et aux transports en commun. Les pompes à chaleur seront très répandues. L’agroécologie aura remplacé l’agriculture intensive. Les camions seront bien remplis et leurs conducteurs formés à l’éco-conduite, les objets seront plus efficaces avec une durée de vie plus longue, une teneur en carbone moindre et composés de matériaux recyclés. Les procédés industriels seront électrifiés et émettront peu de GES avec une production réduite puisque la demande intérieure aura diminué. Les industries du recyclage, de la biomasse et du nucléaire 4e génération seront déployées. Les énergies renouvelables seront entièrement développées.

Pour y parvenir, les auteurs proposent un plan dont l’idée est de répertorier les actions à mettre en œuvre pour que l’économie française soit en phase avec une diminution des gaz à effet de serre (GES) de 5 % par an.

De l’énergie au logement, de l’industrie à la finance, des mobilités à l’agriculture en passant par la culture, l’éducation, l’administration publique ou la santé, chaque chapitre scanne un secteur au niveau énergétique et des leviers de transformations sont proposés. Pour chaque secteur, il y a une planche synthétique illustrée qui résume au moyen de graphiques et chiffres la situation, les objectifs à atteindre et comment y arriver. Les implications de diminution des émissions de GES et de changement de paradigme énergétique sont également étudiées en termes d’emploi, de mode de vie et d’organisation de la société.

A titre d’exemple, que propose le plan pour l’industrie ?

Ce secteur aujourd’hui en France représente :

  • 13 % (seulement !) du PIB et de l’emploi ;
  • 20 % des émissions nationales de GES ;
  • 75 % de ces émissions proviennent de l’industrie lourde : métallurgie – chimie – ciment.

Les leviers proposés par le plan pour décarboner :

  • poursuivre les progrès techniques : ciments bas carbone, efficacité énergétique, combustibles biomasse, recyclage des métaux ;
  • créer un cadre propice aux ruptures technologiques : hydrogène, capture du carbone, nouvelles techniques de construction ;
  • augmenter le recyclage des plastiques ;
  • relocaliser la production d’engrais.

Résultats en 2050 ?

  • 80 % de réduction des émissions.
  • Une industrie décarbonée : moins de volume mais plus de valeur.
  • Emplois : relocalisations, réduction des importations, développement de nouvelles filières : batteries, bois …
  • La filière de l’après-1re vie (acteurs du recyclage de la réparation et du réemploi) se déploie avec des emplois non délocalisables.

Mon avis

C’est une écriture agréable et homogène malgré les nombreux auteurs et la technicité du propos.  Ce livre nous donne l’envie de se mettre en action pour qu’un tel plan soit déployé en France ou chez nous.

Même si la Wallonie n’est pas une « petite France », de nombreuses pistes peuvent également nous inspirer, alors à quand un plan de transformation de l’économie wallonne ?

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 Les cellules syndicales RISE et Mobilité

La Cellule RISE

Le projet RISE (Réseau Intersyndical de Sensibilisation à l'Environnement) a vu le jour en 1996. Soutenu par la Région wallonne, il rassemble la FGTB et la CSC autour de plusieurs objectifs :

  • sensibiliser les travailleurs et leurs représentants à l'environnement ;
  • stimuler la concertation sociale en environnement dans les entreprises ;
  • renforcer la capacité d'intervention des délégués sur les questions environnementales.

RISE vous propose différents outils pour vous aider dans vos actions :

  • des formations sur l'environnement ;
  • un service d'aide auquel adresser vos questions ;
  • un appui sur le terrain ;
  • un site web : https://www.rise.be ;
  • des brochures sur différents sujets relatifs à l'environnement (téléchargeables sur le site) ;
  • une lettre d'information semestrielle.

     Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter    

Cellule RISE du CEPAG
Rue Haute 42 - 1000 Bruxelles

La Cellule Mobilité

La Cellule Mobilité du CEPAG poursuit trois objectifs principaux :

  • stimuler la concertation sociale en matière de mobilité dans les entreprises ;
  • renforcer la capacité d'intervention des délégués syndicaux sur ces questions ;
  • informer et sensibiliser les travailleurs et leurs représentants aux problématiques liées à la mobilité.

Le travail de la Cellule Mobilité s'organise sur 3 axes principaux :

  • axe 1 - Formation et sensibilisation : des formations, des séances de sensibilisation, la participation aux congrès syndicaux, colloques et événements particuliers (par exemple: la semaine de Mobilité) ;
  • axe 2 - Expériences-pilotes : des actions sur le terrain sous la forme d'expériences-pilotes dans différentes entreprises ;
  • axe 3 - Appui technique aux délégués : brochures, une newsletter électronique, un site Internet, un service d'aide.

     Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter    

Cellule Mobilité du CEPAG
Rue Haute 42 - 1000 Bruxelles

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