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Lettre d'information n° 27 - FGTB

Lettre d'information n° 27 - FGTB

Cellules RISE et Mobilité du CEPAG Mars 2016 Au sommaire du 27e numéro de notre lettre d'information : dans la rubrique RISE :- collecte de plans globaux de prévention et/ou de plans annuels d'action- dossier spécial "Climat"- des campagnes et fiches pour agir en entreprise- les ...

Publié le 23/02/2016

Cellules RISE et Mobilité du CEPAG

Mars 2016


Au sommaire du 27e numéro de notre lettre d'information :

Bonne lecture !


 

   RISE

Collecte de plans globaux de prévention 2012-2016 et/ou de plans annuels d’action 2015

En automne 2015, les Cellules RISE et Mobilité se sont engagées sur un nouveau projet qui s’articule de la manière suivante :

  • Phase 1 (2015-2016) : identifier et diffuser les bonnes pratiques en matière de santé/sécurité environnementales et mobilité durable collectées auprès de 100 entreprises ;
  • Phase 2 (2016-2017) : mesurer le profil de gestion environnementale de 200 entreprises et faire avancer des actions menant à des progrès concrets dans 30 entreprises.

Dans le cadre de la première phase du projet, les Cellules RISE et Mobilité du CEPAG/FGTB wallonne ont besoin de votre collaboration pour :

  • collecter un maximum de plans de prévention 2012-2016 ou plans annuels 2015 concertés en CPPT ;
  • interroger un maximum d’entreprises sur l’existence d’une discussion en CE sur le diagnostic mobilité 2014.

La réussite de ce nouveau projet, et plus particulièrement l’enquête à réaliser auprès de nos représentants au sein des CPPT dépend de vous !

Nous vous demandons de bien vouloir contribuer à ce projet en envoyant vos plans de prévention et les formulaires d’enquête mobilité complétés à cette adresse : daniel.wojtalik@cepag.be

La confidentialité des informations contenues dans ces documents sera assurée au niveau de l’analyse des données reçues.

Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus en contactant :

  • Daniel Wojtalik au 02 506 83 96

 Merci d’avance pour votre collaboration !

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Dossier spécial "Climat"

1. La COP 21 a débouché sur un accord… mais quel accord ?

La COP 21 qui s’est déroulée à Paris, du 30 novembre au 11 décembre 2015 a débouché sur le premier accord universel sur le climat, adopté par 195 pays !

Le constat des scientifiques était unanime. L’atmosphère de notre planète se réchauffe à cause des émissions de gaz à effet de serre produites par l’activité humaine ! La communauté internationale en a incontestablement pris conscience, sans quoi cet accord n’aurait pas pu aboutir. Mais que contient-il et est-il suffisant ?

Limiter l’augmentation de la température du globe sous les 2°C et si possible sous les 1,5°C

L’objectif des 2 °C est, selon les scientifiques du GIEC, la marge de manœuvre maximale à ne pas dépasser si on veut éviter l’occurrence de catastrophes majeures. La sauvegarde des petits états insulaires, particulièrement vulnérables à la montée du niveau des océans, nécessite de réduire la barre à 1,5 °C par rapport à la période préindustrielle.

Au 12 décembre 2015, 186 pays avaient publié leurs plans d’action climatique dont les 10 plus gros émetteurs (Chine, Etats-Unis, Union européenne, Inde, Russie, Japon, Corée du Sud, Canada, Iran et Arabie saoudite). 97,1% des émissions mondiales de gaz à effet de serre étaient couvertes par ces contributions.

L’Union européenne s’est engagée à réduire ses émissions de 40% d’ici à 2030 par rapport à 1990 et atteindre 27% de sa production électrique issue de sources d’énergie renouvelables. Néanmoins, la somme de ces contributions conduit encore à un réchauffement compris entre 2,7 °C et 3 °C, ce qui est largement insuffisant. L’accord de Paris prévoit donc que ces contributions soient revues à la hausse tous les 5 ans à partir de 2020.

Par ailleurs, le réchauffement global a déjà dépassé les 1 °C. La fenêtre temporelle permettant encore de respecter l’objectif des 2 °C d’augmentation est donc très étroite. Au-delà, il ne sera plus possible de revenir en arrière compte tenu de l’inertie des phénomènes naturels. C’est pourquoi, les émissions devront atteindre un pic aussi vite que possible et tendre vers zéro émission de gaz à effet de serre dans la seconde moitié du siècle.

Il s’agit donc, en réalité, de sortir des énergies fossiles. Notre économie s’étant développée toute entière depuis la seconde moitié du 18e siècle à partir de l’exploitation du charbon, du pétrole et du gaz, c’est donc une véritable révolution qui est appelée à se produire.

100 milliards de dollars chaque année pour le climat, à partir de 2020

L’accord reconnaît que 100 milliards de dollars (en prêts ou en dons) devront être consacrés chaque année, à partir de 2020, à financer des projets permettant aux pays qui n’ont pas la responsabilité historique du réchauffement climatique de prendre des mesures d’adaptation pour lutter contre les inondations, la désertification, le développement des maladies, les pertes de rendements agricoles, etc.

En vertu du principe de responsabilité partagée mais différenciée, la contribution au financement climatique est prévue comme obligatoire pour les pays industrialisés alors que les pays en développement sont invités à contribuer au Fonds vert pour le climat sur une base volontaire.

A titre d’exemple, si on considère les pays voisins, la France a pris l’engagement ferme de contribuer au financement climatique à hauteur de 1 035 millions de dollars, l’Allemagne 1 003 millions de dollars, les Pays-Bas 134 millions de dollars et la Belgique 53,5 millions de dollars.

Le combat est-il pour autant gagné ?

Pas vraiment. L’accord de Paris a le mérite d’exister et de représenter un cadre contraignant pour l’action climatique. Il représente cependant un compromis, un début et non une fin.

La question du temps est cruciale car la lutte contre le réchauffement climatique est une course contre la montre. L’accord ne rentrera en vigueur qu’en 2020, qui est aussi la date de la première échéance pour la révision des contributions des pays. C’est tard !

D’autres faiblesses subsistent, notamment :

  • l’accord ne prévoit pas de sanctions pour les pays qui ne respectent pas leurs engagements ;
  • il est dépendant de changements de majorités politiques qui pourraient remettre en question la dynamique engagée. On pense aux États-Unis ;
  • il est en contradiction avec la plupart des accords de politiques commerciales au niveau international, comme le TTIP actuellement en cours de négociation entre l’Europe et les Etats-Unis et avec les intérêts de nombreux lobbies industriels.

Il s’agit donc à présent plus que jamais pour l’ensemble des acteurs de la société, y compris les syndicats de se mettre au travail pour transformer l’essai. Le défi est immense mais nous n’avons d’autres choix.

L’accord de Paris sera ouvert à la signature des pays le 22 avril 2016 à New-York. Un double critère a été fixé pour son entrée en vigueur : 55 pays représentant 55% des émissions devront avoir ratifié l’accord.

2. Et les travailleurs dans tout ça ?

La FGTB, fait l’analyse suivante de l’accord de Paris adopté par la COP 21 :

Pour la FGTB, l’accord de Paris est un signal fort que le « business as usual » n’est plus une option. Le système capitaliste basé sur le profit et le court terme met en péril la survie de la Planète.

Il est indispensable selon la FGTB d’opérer un changement de paradigme vers une société neutre en carbone qui intègre les priorités et les intérêts des travailleurs. L’Accord de Paris, décevant dans la non remise en cause d’un système voué à la faillite, peut toutefois constituer un premier pas pour réorienter le modèle de développement. Mais il est urgent, dans le chef des politiques et des multinationales de passer des paroles aux actes !

La Transition Juste, basée sur le dialogue social, des investissements durables, des emplois de qualité, de la formation-reconversion, le respect des droits humains et des travailleurs et enfin une sécurité sociale forte, doit constituer la clé de voûte de cet élan vers une révolution durable de notre planète.

Et de fait, si la COP 21 apparaît comme une avancée historique, il est permis de s’interroger par rapport à la question suivante : peut-on appliquer des mécanismes issus du capitalisme (offre et demande, compensation, marché carbone,…) pour tenter de corriger les désastres environnementaux créés par ce même capitalisme ?

Cette question en amène d’autres… En admettant que la lutte contre le réchauffement climatique ne soit pas soluble dans le capitalisme, que convient-il de faire ?

Différentes options se présentent alors :

  • prier le ciel que nous nous trompons et que l’Accord de Paris sera LA solution : il faut une bonne dose de confiance et de déni des réalités…
  • rejeter tout en bloc : mais dispose-t-on d’un plan B qui représente un levier suffisant que pour constituer une alternative rapide et dont les chances de succès sont avérées ? De nombreuses initiatives citoyennes émergent de par le monde mais ont-elles atteint un degré de maturité suffisant ? Comment créer une communauté mondiale alternative et solidaire à opposer au processus officiel des Nations-Unies qui préside actuellement aux négociations climatiques ? Est-on prêt à prendre le risque ? Ne risque-t-on pas par cette attitude de faire le jeu des climato-sceptiques et du lobby des énergies fossiles qui cherchent des alliés sur lesquels s’appuyer pour dénoncer l’accord ?
  • adopter une attitude pragmatique, à savoir prendre acte de l’Accord de Paris, de ses avancées et de ses faiblesses, et continuer à se mobiliser en faveur d’une concrétisation du concept de transition socialement juste de l’économie défendu par les syndicats au niveau international.

Sachant qu’aucune des options n’offre la garantie d’aboutir à un résultat idéal et encore moins certain – il est peut-être déjà trop tard, la troisième option apparaît comme la plus constructive. De toute façon, avons-nous d’autre choix que de tenter jusqu’au bout de sauver, non pas la planète, mais les conditions de la biosphère qui permettent à l’humanité de survivre ?

Il s’agit aujourd’hui pour chaque acteur de la société d’agir à son niveau pour faire avancer les choses.

En notre qualité de Cellule RISE du CEPAG, nous avons choisi de prendre part au débat autour de la transition bas carbone de trois secteurs sensibles en Wallonie : le logement, les transports et l’industrie.

A titre d’exemple, au niveau du logement, il s’agit de favoriser la rénovation énergétique du bâti wallon tout en apportant des solutions aux ménages les plus exposés à la précarité énergétique que sont les locataires et les propriétaires à revenus modestes qui n’ont pas les moyens d’investir dans leur habitation.

Sur le plan industriel, nous souhaitons promouvoir le dialogue social dans le cadre des projets de la Région wallonne en matière de développement de l’économie circulaire.

Selon la définition de l’ADEME, l’économie circulaire recouvre 3 domaines d’action et 7 piliers :

  • l’offre des acteurs économiques repose sur : l’approvisionnement durable, l’éco-conception, l’écologie industrielle et territoriale, l’économie de la fonctionnalité ;
  • la demande et le comportement des consommateurs repose sur : la consommation responsable et l’allongement de la durée d’usage ;
  • la gestion des déchets repose sur le recyclage.

Rappelons que le Plan Marshall 4.0 prévoit 1,1 milliard d’euros (dont 133 millions de financement alternatif pour soutenir l’efficacité, la transition énergétique et l’économie circulaire. L’objectif est de mener à bien des projets pilotes industriels de mise en application de l’économie circulaire et de l’économie de la fonctionnalité, notamment en finançant des études sectorielles, des études de faisabilité et des prototypes.

Les stratégies d’entreprises s’appuient sur des marchés et des circuits d’approvisionnement mais aussi sur l’organisation des moyens humains. Le développement de l’économie circulaire a donc tout intérêt, compte tenu de ses conséquences sur la création de nouveaux emplois, l’évolution du contenu du travail ou l’environnement du travail, à être réalisé en concertation avec les travailleurs afin d’aboutir à des résultats optimaux.

Enfin, au niveau du transport, tout reste à faire… La décision du Gouvernement Michel de réduire la dotation de la SNCB de près de 3 milliards d’euros va clairement à l’encontre de ces engagements repris dans l’accord de Paris.

La Cellule RISE s’inscrit également dans le concept de défense des « communs », c’est-à-dire de la démocratie économique au niveau de la gestion des biens fondamentaux que sont l’énergie, l’eau, la biodiversité, etc., et en faveur de la revalorisation des services publics dans les domaines de l’enseignement, de la santé, de la mobilité, etc.

Des services publics performants constituent, en effet, un socle de pouvoir d’achat, écologiquement durable, socialement juste et pourvoyeur d’emplois de qualité.

Pour terminer et pour permettre de fixer les idées par des images, nous ne résistons pas à l’envie de vous conseiller de regarder cette petite vidéo particulièrement didactique intitulée « Voici à quoi ressemble la démocratie énergétique ! »

3. Les principes directeurs de l’OIT, une base pour l’action syndicale

Le 5 novembre 2015, l’OIT (Organisation internationale du Travail) a adopté des Principes directeurs pour une transition juste vers des économies et des sociétés écologiquement durable pour tous.

Ces principes directeurs sont non-contraignants mais visent à fournir des orientations pratiques à l’intention notamment des gouvernements et des partenaires sociaux.

L’action syndicale dans le domaine d’une transition bas carbone de l’économie qui soit socialement juste s‘inscrit dans ce cadre que nous reprenons ici in extenso.

S’appuyant sur les données et les enseignements tirés des politiques nationales et des stratégies sectorielles visant à assurer la préservation de l’environnement, l’écologisation des entreprises, l’insertion sociale et la promotion des emplois verts, les Principes d’orientation comprennent :

  • des politiques macroéconomiques et sectorielles centrées sur l’emploi ;
  • des règles environnementales concernant des industries et des secteurs ciblés ;
  • des politiques de protection sociale pour renforcer la résilience et préserver les travailleurs des conséquences néfastes du changement climatique, de la restructuration de l’économie et des contraintes en matière de ressources ;
  • des politiques actives du marché du travail qui cherchent à créer des emplois, à limiter les pertes d’emploi, et garantissent une bonne gestion des ajustements liés aux politiques d’écologisation ;
  • l’établissement de mécanismes de dialogue social tout au long du processus d’élaboration des politiques à tous les niveaux ;
  • des politiques de sécurité et santé au travail pour protéger les travailleurs contre les risques et dangers professionnels ;
  • la cohérence des politiques et des dispositions institutionnelles pour intégrer le développement durable et préserver le dialogue entre les parties prenantes et la coordination des différents domaines politiques ;
  • la création d’un environnement favorable à des entreprises durables et respectueuses de l’environnement ;
  • et le développement des compétences pour veiller à ce que les compétences requises soient disponibles à tous les niveaux pour favoriser l’écologisation de l’économie.

A l’issue de la COP 21, Le concept de transition juste a finalement été inscrit dans le préambule de l’Accord de Paris.

Les syndicats auraient souhaité qu’il apparaisse dans la partie opérationnelle de l’accord. Néanmoins, la reconnaissance de cette notion représente une référence sur laquelle s’appuyer pour que les préoccupations des travailleurs soient prises en compte au niveau des mesures de lutte contre les changements climatiques. Il en va de même de ces principes directeurs.

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Campagnes et fiches

1. Campagne sur le thème des nanotechnologies

Depuis une décennie, l'utilisation des nanotechnologies s'est considérablement développée dans les entreprises. Dans les années à venir, le nombre de travailleurs exposés devrait encore augmenter fortement. Pourtant, les risques sanitaires et environnementaux qui découlent de leur utilisation, par les travailleurs mais aussi par les consommateurs, sont largement méconnus. Des études réalisées sur les animaux établissent que certaines nanoparticules peuvent traverser les barrières physiologiques (peau, muqueuses, etc.), se répandre dans le corps et s'accumuler dans différents organes. Des effets toxiques ont été mis évidence chez certains animaux.

Ce dossier vise à faire le point sur les connaissances indispensables qu'un délégué doit avoir : Qu'appelle-t-on une nanotechnologie ? Quels sont les produits potentiellement concernés ? Quels sont les risques pour la santé et l'environnement ? Quelles mesures de protection prendre pour les travailleurs ? Quelle réglementation pour l'utilisation des nano dans les entreprises ? Quelle approche syndicale ? En tant que consommateur, comment repérer un produit contenant des nanoparticules ?

Retrouvez ce dossier ICI.

2. Campagne « Bruit au travail »

Le bruit est une composante essentielle de notre cadre de vie et de notre environnement de travail. Mais des bruits excessifs ou continus constituent un inconfort qui peut avoir un impact sur notre santé et peut devenir un véritable cauchemar pour certaines personnes…

En Belgique, la surdité est sur le podium des 10 principales maladies professionnelles. Il est donc nécessaire de prendre le problème à bras-le-corps dans de nombreux lieux de travail.

 L’objectif de ce dossier est d’aider les délégués confrontés aux questions ou aux plaintes des travailleurs sur les nuisances sonores à l’extérieur et à l’intérieur de l’entreprise. Il aborde aussi de bonnes pratiques à mettre en œuvre.

Retrouvez ce dossier ICI.

3. Deux nouvelles fiches d'information liées aux deux campagnes ci-avant (une bonne façon d’aborder ces sujets complexes de manière synthétique !)

4. La compilation des 21 fiches publiées par RISE depuis 2012 en un seul recueil

Fiches imprimables en un seul document et classées par chapitre – Merci RISE !

Retrouvez cette compilation ICI.

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La Cellule RISE, un outil pour soutenir votre action

Le projet RISE (Réseau Intersyndical de Sensibilisation à l'Environnement) a vu le jour en 1996. Soutenu par la Région wallonne, il rassemble la FGTB et la CSC autour de plusieurs objectifs :

  • sensibiliser les travailleurs et leurs représentants à l'environnement ;
  • stimuler la concertation sociale en environnement dans les entreprises ;
  • renforcer la capacité d'intervention des délégués sur les questions environnementales.

 RISE vous propose différents outils pour vous aider dans vos actions :

  • des formations sur l'environnement ;
  • un service d'aide auquel adresser vos questions ;
  • un appui sur le terrain ;
  • un site web: https://www.rise.be ;
  • des brochures sur différents sujets relatifs à l'environnement (téléchargeables sur le site) ;
  • une lettre d'information semestrielle.

 

Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter :

Cellule RISE du CEPAG

Conseillers : Jean-Luc Dossin, Lydie Gaudier, Evelyne Jadoul, Julie Rigo

Secrétariat : Daniel Wojtalik

Rue Haute 42 - 1000 Bruxelles Tél. 02 506 83 96 - Fax : 02 502 08 28

Mail : cepag@rise.be Site Web : https://www.rise.be

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   MOBILITE

Together To Work ou faire décoller le covoiturage sur ton zoning !

Le carnaval est terminé, la chandeleur est passée.

Pourtant, l’hiver se traîne, partir (et revenir !) ensemble au (du) travail, ça réchauffe les solidarités et ça permet de tenir jusqu’au printemps !

Si l’entreprise dont tu es délégué/e se situe sur une zone d’activités économiques et que tu penses que le covoiturage peut améliorer la mobilité des travailleurs, n’hésite pas à interpeller l’employeur pour qu’il manifeste son intérêt pour ce projet avant le 25 mars prochain !

Télécharger le formulaire de candidature


Le printemps arrive, comme chaque année

Les temps changent ? Pas vraiment : des embouteillages devenus quotidiens, on sait qu’on sera en retard, énervé, moins de sous pour les transports publics… bref, la mobilité reste un problème majeur pour beaucoup de travailleurs.

Pourtant des solutions existent qui demandent souvent des changements d’habitudes difficiles à imaginer. Les questions qui méritent d’être posées et qui nous ont été relayées par des travailleurs, nous les avons rassemblées dans ces deux nouveaux outils :

 

 

Sous forme de petits carnets pratiques à glisser dans la poche, tu auras toujours sur toi l’information nécessaire sur ces deux alternatives qui permettent de réduire les inconvénients liés au tout à la voiture !

Télécharger les carnets :

Pour obtenir une version papier, adresse-toi à : daniel.wojtalik@cepag.be ou 02/506 83 96


La Cellule Mobilité

La Cellule Mobilité du CEPAG poursuit trois objectifs principaux :

  • stimuler la concertation sociale en matière de mobilité dans les entreprises ;
  • renforcer la capacité d'intervention des délégués syndicaux sur ces questions ;
  • informer et sensibiliser les travailleurs et leurs représentants aux problématiques liées à la mobilité.

Le travail de la Cellule Mobilité s'organise sur 3 axes principaux :

  • axe 1 - Formation et sensibilisation : des formations, des séances de sensibilisation, la participation aux congrès syndicaux, colloques et événements particuliers (par exemple: la semaine de Mobilité) ;
  • axe 2 - Expériences-pilotes : des actions sur le terrain sous la forme d'expériences-pilotes dans différentes entreprises ;
  • axe 3 - Appui technique aux délégués : brochures, une newsletter électronique, un site Internet, un service d'aide.

Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter :

Cellule Mobilité du CEPAG

Conseillers : Jean-Luc Dossin, Lydie Gaudier

Secrétariat : Daniel Wojtalik

Rue Haute 42 - 1000 Bruxelles Tél. 02 506 83 96 - Fax : 02 502 08 28

Mail : mobilite@cepag.be

Site Web : http://www.cepag.be/mobilite%20 (rubrique "Mobilité")

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