Contexte
En visant la décarbonation par la financiarisation de la
nature, la communauté internationale a converti la gouvernance environnementale
en source de profit. À coup de « conservationnisme », de marchés de la «
compensation carbone » ou d’« extractivisme », le néocolonialisme vert exacerbe
les inégalités et l’instrumentalisation des pays riches en ressources
naturelles par les acteurs dominants, publics et privés, de l’économie
mondiale. Seule une transition écologique axée sur la justice sociale pourra préserver
la biodiversité et le climat.
Intervenant·es
Infos pratiques
Pour aller plus loin
Gagnants et perdants de la course aux énergies « vertes » : une perspective Nord-Sud