Cellules RISE et Mobilité du CEPAG
Mars 2023
- La Gestion Différenciée
- La création d’emplois durables et la formation : pierre angulaire de la transition industrielle wallonne
- J’ai lu pour vous : L’écologie n’est pas un consensus de François Gemenne
- Une formation de base RISE/Mobilité est programmée au premier semestre 2023
- Les coordonnées des cellules syndicales RISE et Mobilité
La Gestion Différenciée
Gestion différenciée ? C’est quoi ce truc ? La gestion quoi… ? Différenciée… ?!?
Encore un nouveau truc des ressources humaines, je parie…
Euh, pas vraiment.
Bon, je t’explique
La gestion différenciée, c’est une approche raisonnée de la gestion des espaces verts qui tient compte des aspirations environnementales d’aujourd’hui. L’idée est d’agir sur les habitudes du « tout horticole »[1] et d'appliquer à chaque espace une gestion qui lui est adaptée.
Elle permet de diversifier les types d'espaces verts. Certains seront dévolus à l’esthétique « terrain de football »[2], d’autres laissés aux mains de « dame nature ». Elle favorise la biodiversité et permet de réduire l'utilisation des pesticides. Le principe est l’application de méthodes limitant les besoins en désherbage comme le paillage ou l’engazonnement et l’usage de techniques alternatives que sont le désherbage mécanique, thermique ou même manuel. Mais aussi de (ré)apprendre à accepter la végétation sauvage en différents endroits.
Entretenir autant que nécessaire, mais aussi peu que possible !
Un petit dessin vaut parfois mieux qu’un long discours…
« Euh… oui, c’est vrai qu’il y a plein d’espaces différents… »
« Ah, tu vois… et bien, on peut les traiter différemment tout en respectant au mieux l’environnement. C’est bon pour la nature et pour la santé. »
Pourquoi passer à la gestion différenciée ?
En quoi est-il intéressant de modifier les méthodes de gestion des espaces verts ?
- limitation des risques et dangers liés à l'utilisation de pesticides ;
- constitue un frein à l’érosion de la biodiversité ;
- suit l’évolution des attentes sociales en matière de nature ;
- peut constituer une réponse à des contraintes légales, techniques et budgétaires.
Pas un abandon de gestion, mais bien une autre gestion !
Les techniques
Quel que soit le niveau de soin que l’on souhaite apporter à chaque espace, il existe différentes techniques raisonnées d’aménagement, d’entretien et de valorisation des espaces verts.
Le désherbage alternatif
Il existe trois alternatives au désherbage chimique :
- le désherbage manuel : réalisé à l’aide de petits outils non motorisés de plus en plus précis, ergonomiques et adaptés ;
- le désherbage mécanique : réalisé à l’aide de portes-outils, brosses mécaniques, rabots de piste, herses rotatives, etc. ;
- le désherbage thermique : réalisé à l’aide d’un désherbeur à flamme directe, flamme directe ou infrarouge, à air chaud, à vapeur, à eau chaude et à mousse.
Les actions préventives
Il existe aussi un ensemble d’actions d’aménagement raisonné comme :
- le paillage ;
- les bâches ou géotextiles ;
- les plantes couvre-sols ;
- le fleurissement raisonné ;
- la végétalisation ;
- la gestion extensive des espaces enherbés ;
- les revêtements (intégrant la végétation) ;
- la tolérance à la végétation spontanée.
Enherber plutôt que désherber
À propos de la tolérance à la végétation spontanée
Le principe est de laisser se développer la végétation de manière spontanée dans les zones où un résultat « esthétique » n’est pas considéré comme important. Une tonte ou un débroussaillage peuvent néanmoins être effectués à l’occasion, s’il est nécessaire de donner une impression de zone « entretenue ».
Comme le fauchage tardif, qui consiste à ne pratiquer qu’un seul fauchage annuel en fin de saison sur les bords de route, cette tolérance à la végétation spontanée permet aux plantes de s’épanouir, fleurir et fructifier mais aussi de constituer une source de bienfaits pour divers animaux (nourriture, abri). Tout en limitant les nécessités d’entretien, cette méthode favorise un retour de la biodiversité.
Au sujet des aspects légaux
La gestion différenciée est une réponse raisonnée aux lois et autres règlements issus des législations européenne, fédérale et régionale – actuelles et, à n’en pas douter, futures – dans la gestion des espaces publics, l’utilisation des pesticides et la préservation de la biodiversité. Pourquoi ne pas s’en inspirer dans les entreprises ? À plus forte raison, dans les zones d’activités économiques qui se prêtent bien à ce type d’aménagements.
- Sources d’inspiration :
https://www.adalia.be/sites/default/files/media/resources/GuideGD.pdf
La création d’emplois durables et la formation : pierre angulaire de la transition industrielle wallonne
La Déclaration de Politique Régionale (DPR) 2019-2024 engage la Wallonie à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55 % en 2030 par rapport à 1990, conformément au Paquet Fit for 55 adopté par l’Union européenne et aux objectifs de neutralité carbone à l’horizon 2050.
En matière de politique climatique, une distinction est faite, d’une part, entre les grosses installations et secteurs dont les émissions de GES peuvent être évaluées individuellement dans le cadre du système d’échange de quotas d’émissions (Emission Trading System – ETS) et d’autre part, les émissions diffuses qui recouvrent le logement, les transports, l’agriculture et les déchets (secteur non-ETS).
S’ajoute à ces contraintes de réduction des émissions de gaz à effet de serre, la nécessité de rendre notre consommation énergétique plus sobre dans un contexte de prix élevés à moyen et long terme, déterminé par les exigences de sorties des énergies fossiles notamment.
Dans un tel contexte, le maintien et la création d’emplois durables ainsi que la formation sont les enjeux centraux d’une transformation profonde de l’économie aboutissant à un juste équilibre entre développement social, industriel et durabilité environnementale.
La transition bas carbone de l’économie wallonne devrait offrir à des secteurs comme la sidérurgie, le verre ou le textile en déclin depuis les années 80 et 90, l’opportunité de développer de nouveaux débouchés et de créer de l’emploi, à condition d’investir non seulement dans la technologie mais surtout dans la formation des travailleurs et l’amélioration des conditions de travail. Or, le bilan de l’industrie wallonne en matière de transition énergétique est loin d’être brillant.
La performance de la Wallonie – qui a réduit de 38,5 % ses émissions de GES au niveau wallon depuis 1990, soit bien au-delà de la moyenne nationale de 26,9 % – a été réalisée sans prise en compte d’une transition socialement juste de l’économie négociée avec l’ensemble des acteurs. Elle est plutôt le résultat de la perte de pans industriels historiques.
A ce titre, les Accords de branche de deuxième génération 2013-2020, prolongés jusqu’en 2023, ont été particulièrement décevants. Les aides reçues par les secteurs industriels pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et améliorer leur efficacité énergétique ont été environ trois fois supérieures aux investissements réalisés.[3] Qui plus est, l’existence de ces aides ne semble pas avoir influencé les décisions d’investissement des acteurs concernés par rapport au « business as usual ». Elles constituent donc des effets d’aubaine.
Aujourd’hui, la troisième génération des Accords de branche est à l’ordre du jour du gouvernement régional avec pour objectif de rehausser l’ambition.
Alors que les Accords actuels consistaient en une convention signée entre les fédérations industrielles et la Wallonie, le nouvel outil sera ouvert à l’ensemble des entreprises quelles que soient leur taille et leur forme juridique (PME, hôpitaux, etc.).
Les entreprises participantes pourront se regrouper soit au niveau d’une fédération industrielle, d’un cluster géographique ou d’une chaîne de valeur, dans le cadre d’une communauté carbone.
Ce nouveau modèle doit leur permettre d’être en capacité d’agir non plus seulement sur l’amélioration des processus de production mais de développer de nouveaux modèles d’affaires (économie circulaire, synergies industrielles, …), d’investir dans des technologies de rupture et d’élargir le périmètre des impacts pris en considération (mobilité du personnel, logistique, …).
On pourrait applaudir cette évolution si elle ne constituait pas à nouveau un chèque en blanc pour les entreprises et le secteur industriel. En effet, les réductions du prix de l’énergie qui étaient accordées dans le cadre des Accords de branche de deuxième génération risquent non seulement d’être maintenues mais, en plus, accordées de manière automatique sans condition d’objectifs à atteindre !
Ces soutiens s’ajouteront aux nouvelles contreparties qui doivent encore être définies mais qui prendront la forme de subsides « pour le passage à l’action » et qui, elles, se baseront sur des plans d’investissements concrets.
Par ailleurs, alors que la transition socialement juste est censée être au cœur du Plan Air Climat Energie 2030 qui vient d’être présenté aux interlocuteurs sociaux, l’emploi et la concertation sociale sont totalement absents de la réflexion du nouveau système qui sera pourtant financé par de l’argent public.
De plus, à aucun moment, l’amélioration de l’efficacité énergétique de l’industrie wallonne et la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre ne sont envisagés en termes absolus. Si l’on est convaincu de la nécessité de préserver le niveau d’activité économique et de décourager les délocalisations, on voit mal comment des objectifs en termes relatifs, c’est-à-dire par unité de valeur ajoutée, pourraient permettre d’atteindre les objectifs du Paquet Fit for 55 en 2030 et de décarbonation en 2050.
Le constat est clair : les secteurs les plus polluants devront subir une reconversion profonde et ceux basés sur les industries fossiles seront amenés à disparaître. Comment, dans ces conditions, garantir le maintien et le développement d’emplois durables et de qualité à moyen et long termes si ces transformations ne sont pas anticipées dans le cadre de la transition juste organisée au niveau régional, sectoriel et de l’entreprise ?
Il est fondamental, en termes de scénarios prospectifs, d’envisager sérieusement et très en amont la reconversion de certains secteurs qui se révéleraient incompatibles avec les objectifs climatiques ainsi que d’anticiper les retombées sur l’emploi et les mesures à négocier et mettre en place en termes de formation et de reconversion des travailleurs impactés.
Le but est évidemment d’aller vers une réindustrialisation de la Wallonie compatible avec les objectifs climatiques et créatrice d’emplois de qualité, ce qui concourt également à réduire les risques géopolitiques en termes de disponibilités de matières premières et de composants divers.
[3] Sur base des données publiées par Pirotech
J’ai lu pour vous : L’écologie n’est pas un consensus de François Gemenne
Introduction
Dans son dernier livre, François Gemenne se demande pourquoi l’écologie ne parvient pas à s’imposer comme la force politique dominante alors que les signaux d’alarme concernant l’environnement se multiplient. Si la majorité des gens font les bons constats et se disent préoccupés par la situation, quand il s’agit de s’entendre sur les solutions c’est une autre histoire.
L’auteur pense que la démocratie représentative ne suffira pas à actionner des politiques environnementales à la hauteur de l’ambition des accords internationaux. Il décrit les causes du problème et explore des voies qui pourraient amener au changement.
1er chapitre : la cause du climat
Dans cette première partie, l’auteur explique pourquoi la problématique des changements climatiques n’est pas prise à bras le corps.
Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène. Premièrement, agir aujourd’hui n’aura des impacts mesurables et visibles que dans un certain temps. Ensuite, les personnes les plus touchées par les changements climatiques ne sont pas à l’origine du problème. Pour l’écrire platement : « agir maintenant sur les causes des changements climatiques aura un impact positif demain sur d’autres que nous : les générations futures et des personnes qui vivent au-delà de nos frontières ».
Et finalement, bon nombre de personnes estiment qu’ils font leur part.
Mais que veut dire : « faire sa part » ?
- « Faire sa part » d’un point de vue individuel : les efforts comportementaux pourraient réduire notre empreinte carbone de 20 à 25 %, on pourrait atteindre 45 % avec des investissements.
- « Faire sa part » d’un point de vue national : sont comptabilisées les émissions de gaz à effet de serre (GES) produites sur le sol national mais on ne tient pas compte des émissions importées. C’est ainsi qu’un argument tel que « De toute façon, l’Europe ne représente que 5 % des émissions de GES, alors à quoi ça sert de faire des efforts ? » tend à avoir du succès. Mais sur 195 pays qui ont signé l’Accord de Paris, la majorité représente forcément moins de 1 % des émissions de GES. De plus, dans les négociations internationales, chaque pays reste centré sur « ses émissions ». Ainsi, la coopération internationale additionne les efforts de chacun plutôt que de se concentrer sur une action collective forte. Pourtant, si l’on se focalise sur les pays européens, leur part doit dépasser leurs émissions territoriales pour au moins deux raisons : la responsabilité historique de l’Europe et le besoin d’importer des matériaux critiques pour assurer la transition énergétique imposée par le Green deal.
D’après François Gemenne, l’action la plus efficace d’un pays européen serait d’investir dans un pays du Sud mais il est difficile de faire comprendre à des électeurs que l’on va dépenser de grosses sommes d’argent à l’étranger pour diminuer les émissions globales de GES.
2e chapitre : le vote comme un don
Dans la deuxième partie, l’auteur insiste sur le fait que l’écologie est politique. Grâce aux mobilisations des jeunes, le climat est entré de plein pied dans les débats politiques. Seulement voilà, si 85 % des Français se disent inquiets des changements climatiques, seuls 30 % en font une priorité politique. Pourquoi ?
Beaucoup de personnes voient le climat comme une cause qu’ils soutiennent au même titre que la faim dans le monde mais n’y voient pas un intérêt direct. Or, un programme électoral en faveur du climat n’apporte pas de résultats dans l’immédiat. Ceux qui votent en faveur de l’écologie sont ceux qui peuvent se le permettre. Pour susciter la mobilisation, un programme écologique doit s’arrimer à d’autres préoccupations comme les inégalités et la santé. Pour ce faire, les arguments existent : l’influence d’un bon environnement sur la santé des gens, les factures d’énergie plus faciles à payer si les bâtiments sont bien isolés, …
Si l’on veut faire la part belle à l’écologie, il y a lieu de combiner des intérêts économiques à la fois de court et de long termes. Pour certains secteurs comme celui de la rénovation des bâtiments, le lien paraît évident.
3e chapitre : conflits
Dans la troisième partie, l’auteur explique que plusieurs tendances telles que « former les élus », « dénoncer les comportements climaticides » ou encore « fixer des objectifs ambitieux » ne suffisent pas à déclencher l’action et pourraient même avoir pour effet l’inverse en tendant à décourager ceux qui font des efforts.
A l’avenir, les conflits d’ordre écologique s’intensifieront, qu’ils soient liés à l’usage de ressources qui se raréfient ou liés à l’implantation dans un monde où l’on refuse de vivre à côté d’une éolienne.
C’est pourquoi il faut un nouveau contrat social car il est impossible d’envisager les politiques environnementales découplées des enjeux sociaux.
4e chapitre : la démocratie contre elle-même
Dans la quatrième partie, François Gemenne confie que s’il a longtemps espéré changer la donne en essayant de convaincre une majorité de la population, il a abandonné cette idée. De même, des mesures autoritaires s’avèreront inefficaces.
Si le changement doit advenir, ce sera grâce à des minorités actives pouvant transformer la société. Où trouver ces minorités ? Dans les entreprises, la société civile et les collectivités.
Selon l’auteur, changer le système économique ne serait pas la solution car nous n’avons tout simplement plus le temps ; aujourd’hui, la priorité est de conserver une terre habitable pour tous. Il est donc plus efficace de travailler avec des groupes minoritaires bien décidés que de prendre le temps de changer le modèle capitaliste. Ces petits groupes d’individus peuvent remettre en question les normes établies en proposant des idées novatrices et en devenant des acteurs de changement qui rallieront une majorité à leur cause. Le débat est ouvert …
Par ailleurs, la démocratie représentative connaît une grave crise de rejet de la part de nombreux citoyens. C’est pourquoi l’introduction de mécanismes participatifs dans nos institutions démocratiques pourraient rendre aux citoyens la conviction qu’ils peuvent peser sur les choix collectifs.
Conclusion : du droit universel d’habiter la Terre
Selon l’auteur, l’écologie politique doit se concevoir dans une perspective cosmopolitique.
Or, le débat politique reste avant tout national ; c’est la raison pour laquelle l’écologie politique n’est pas encore parvenue à s’imposer. Afin de faire émerger un intérêt supérieur, celui de l’habitabilité de la Terre, il faut actionner divers leviers : celui des minorités actives, des formes de démocraties plus participatives, d’autres conceptions de la liberté et du véritable universalisme.
Une formation de base RISE/Mobilité est programmée au premier semestre 2023
- 29 mars : Introduction à l’environnement et à la mobilité – Jeu RISE
- 30 mars : Entreprise et environnement – Les participants réalisent l’état des lieux environnemental de l’entreprise qui les emploie
- 31 mars : Droits syndicaux en environnement et mobilité – Exercices de mise en situation
- 24 mai : Changements climatiques : fresque du climat – Jeu sur les négociations climatiques internationales – Conférence des parties (COP)
- 25 mai : Quel avenir énergétique ?
- 26 mai : Exercice de mise en situation d’une concertation sociale sur l’environnement – Jeux de rôle
!!! Inscription à partir du 13 février
uniquement par l'intermédiaire du/de la Permanent·e syndicale !!!
Les cellules syndicales RISE et Mobilité |
La Cellule RISE
Le projet RISE (Réseau Intersyndical de Sensibilisation à l'Environnement) a vu le jour en 1996. Soutenu par la Région wallonne, il rassemble la FGTB et la CSC autour de plusieurs objectifs :
- sensibiliser les travailleurs et leurs représentants à l'environnement ;
- stimuler la concertation sociale en environnement dans les entreprises ;
- renforcer la capacité d'intervention des délégués sur les questions environnementales.
RISE vous propose différents outils pour vous aider dans vos actions :
- des formations sur l'environnement ;
- un service d'aide auquel adresser vos questions ;
- un appui sur le terrain ;
- un site web : https://www.rise.be ;
- des brochures sur différents sujets relatifs à l'environnement (téléchargeables sur le site) ;
- une lettre d'information semestrielle.
Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter Cellule RISE du CEPAG
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La Cellule Mobilité
La Cellule Mobilité du CEPAG poursuit trois objectifs principaux :
- stimuler la concertation sociale en matière de mobilité dans les entreprises ;
- renforcer la capacité d'intervention des délégués syndicaux sur ces questions ;
- informer et sensibiliser les travailleurs et leurs représentants aux problématiques liées à la mobilité.
Le travail de la Cellule Mobilité s'organise sur 3 axes principaux :
- axe 1 - Formation et sensibilisation : des formations, des séances de sensibilisation, la participation aux congrès syndicaux, colloques et événements particuliers (par exemple: la semaine de Mobilité) ;
- axe 2 - Expériences-pilotes : des actions sur le terrain sous la forme d'expériences-pilotes dans différentes entreprises ;
- axe 3 - Appui technique aux délégués : brochures, une newsletter électronique, un site Internet, un service d'aide.
Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter Cellule Mobilité du CEPAG
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