Newsletter n° 43 - Numéro spécial "Covid-19"


Cellules RISE et Mobilité du CEPAG

Avril 2020


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 RISE

Préambule

Il semblerait que déjà en 2008, le risque d’une pandémie issue d’un virus s’attaquant aux voies respiratoires ait été évoquée.

Comme pour le changement climatique ou l’effondrement de la biodiversité, le déni et le fantasme selon lequel les choses continueront comme nous les avons toujours connues ont empêché toute prise de conscience des dangers liés à la poursuite d’un modèle économique destructeur.

Pourtant, depuis toujours, le mode de vie occidental n’est que la façade dorée de l’exploitation de la nature et des Hommes.

Nous pouvons espérer que cette pandémie soit un électrochoc suffisant pour que des réformes permettant de remettre le monde sur la voie d’un mode de vie durable et solidaire voient le jour.

Elle remet d’autant plus à l’ordre du jour la nécessité de la transition juste défendue par le mouvement syndical au niveau mondial afin d’anticiper le changement plutôt que de devoir réagir dans l’urgence à l’occurrence de crises inévitables si rien ne change

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Covid-19 : face à la crise, faire plus de la même chose qui ne marche pas conduirait au même résultat !

« Seule une crise – réelle ou perçue – produit de véritables changements. Lorsque cette crise survient, les mesures prises dépendent des idées qui se trouvent dans l’air » (Milton Friedman)

Ardent défenseur du libéralisme, Milton Friedman, Prix Nobel d’économie en 1976, n’est, à priori, pas notre ami.

Force est cependant de constater que la crise actuelle pourrait lui donner raison sur ce point, comme le souligne la journaliste altermondialiste Naomi Klein dans une récente vidéo.

Du point de vue sanitaire, social et économique, la pandémie que nous vivons est une catastrophe.

L’interdépendance croissante des économies au niveau mondial, les politiques d’austérité budgétaire, la priorité accordée au profit à court terme et à la spéculation ont rendu notre société extrêmement vulnérable à tout événement majeur et imprévisible.

Le Covid-19 en est une illustration, bien que son caractère inattendu soit amplement à relativiser.

La Belgique, en particulier, est largement touchée. En date du 10 avril, 125.094 employeurs avaient introduit une demande de chômage temporaire pour un total de 1.288.156 travailleurs.

Le commerce de détail, les arts et spectacles, les loisirs, les cafés et la restauration, l’événementiel, les transports sont des secteurs particulièrement touchés.

Plus généralement, notre économie se caractérise par un degré élevé d’interconnexion à l’économie mondiale. Si les principaux partenaires commerciaux du pays sont la France, l’Allemagne et les Pays-Bas, son intégration dans les chaînes de valeur mondiale la rende particulièrement sensible aux effets en cascade qui peuvent découler de toute perturbation.

Sachant que la Chine, d’où est arrivée la pandémie, est aujourd’hui la deuxième économie mondiale et représente à elle seule 12,8 % des exportations de marchandises, la quasi fermeture du pays a fortement impacté des secteurs comme l’informatique, l’électronique, l’industrie pharmaceutique, les équipements de transport, le commerce de matières premières et même le tourisme qui représente 4 % du PIB de l’OCDE et 7 % de l’emploi.

Mais déjà au quatrième trimestre de 2019, la production industrielle, les échanges internationaux et les investissements avaient connu un ralentissement.

L’OCDE constate également que les mouvements de grève, les troubles sociaux et les catastrophes naturelles avaient perturbé l’activité dans un certain nombre de pays. Le malaise était donc grandissant et les signes avant-coureurs que ce soit de la nécessité de revoir le système ou de prendre les mesures de prévention nécessaire pour faire face à une pandémie dont les risques d’occurrence pourtant connus, n’ont pas été écoutés.

Aujourd’hui, les mesures envisagées par la majorité des décideurs pour l’après-pandémie vont dans le sens de la relance d’économie par la demande :

  • refinancement des secteurs de l’éducation et de la santé ;
  • assouplissement des règles budgétaires ;
  • poursuite de la baisse des taux d’intérêt pour favoriser les investissements et relancer la consommation ;
  • restauration de la confiance sur les marchés financiers, …

Certains vont même, comme le MEDEF en France, jusqu’à demander une suspension des acquis sociaux au niveau du temps de travail, des vacances annuelles ou des heures supplémentaires comme mesures de rattrapage.

Or, ce n’est pas de plus de la même chose dont la société a besoin mais bien d’une transformation profonde !

Si le refinancement des services publics est une bonne chose, son objectif ne doit pas être seulement d’éviter un autre épisode de confinement néfaste à l’économie. Il doit être de mettre le pied à l’étrier d’une transition énergétique et écologique qui soit socialement juste et qui permettra d’assurer la résilience de nos sociétés à long terme face aux menaces que sont les pandémies mais aussi les conséquences du changement climatique ou l’effondrement de la biodiversité.

Alors que faut-il faire ?

De nombreuses propositions sont sur la table depuis longtemps, notamment celles que font les syndicats, dont une série de mesures pour permettre enfin d’opérationnaliser la transition juste :

► refinancer et améliorer la qualité et l’accessibilité de tous les services publics, la santé et l’éducation mais aussi les transports ;

► assurer à tous un droit aux biens de première nécessité que sont le logement, l’énergie et l’eau mais aussi aujourd’hui aux moyens de communication numérique ;

► mettre en œuvre et financer une transition énergétique socialement juste et créatrice d’emplois au niveau européen grâce aux outils que sont :

  • la réglementation et les normes de produit ;
  • la taxation des transactions financières et la lutte contre la spéculation ;
  • le développement d’une fiscalité européenne pour éviter la concurrence fiscale entre les Etats membres ;
  • une taxation unitaire des multinationales de sorte à lutter contre l’ingénierie fiscale ;
  • la réorientation des investissements de la Banque centrale européenne vers la transition énergétique (aujourd’hui, près 90 % des fonds disponibles ne sont pas injectés dans l’économie réelle) et la transformation de la Banque européenne d’investissement en une Banque du climat comme le suggère l’économiste Pierre Larrouturou ;

► relocaliser l’économie et accroître sa résilience grâce au développement de l’économie circulaire ;

► redévelopper une agriculture durable et promouvoir les circuits courts alimentaires ;

► former les travailleurs aux emplois de demain et assurer l’avenir de la sécurité sociale.

Le Green Deal européen présenté par la Commission européenne en décembre dernier est un grand pas dans la bonne direction même si les financements qui lui sont associés sont largement insuffisants. Il ne doit surtout pas être abandonné comme le proposent certains pour faire face aux conséquences de la crise à court terme.

La Confédération internationale des syndicats (CSI) appelle également à appuyer la création d’un Fonds mondial pour une protection sociale universelle en faveur des pays les plus pauvres. Cette mesure est indispensable pour les populations des pays du Sud mais aussi pour enrayer les pandémies.

Cette crise doit être un révélateur. Elle montre que les Etats sont capables de prendre des mesures radicales pour répondre à l’urgence !

Quelques liens

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Le confinement, une bonne nouvelle pour l’environnement ?

On l’a vu dans la presse, le confinement n’a pas que des inconvénients pour la nature, voire même pour les humains. La pollution atmosphérique a été réduite de manière spectaculaire, les animaux ont réinvesti l’espace public. Les poissons sont revenus dans les canaux de Venise. Deux rorquals ont été observés au large des Calanques de Marseille et des dauphins dans les ports italiens.

Deux mois de réduction de la pollution en Chine ont permis de sauver de maladies respiratoires 4.000 enfants de moins de cinq ans et 73.000 adultes de plus de 70 ans.

Pourtant, en tant qu’organisation syndicale, nous déplorons la crise actuelle et ses conséquences non seulement économiques mais sociales, sanitaires et écologiques, ce qui est justement ce que nous voudrions éviter grâce à la transition juste.

Pourquoi ?

Evolution des émissions de CO2 en Europe en raison des mesures de confinement

Source : Les Echos – Le confinement réduirait chaque jour les rejets de CO2 de 58 % en Europe

Incontestablement, les émissions de gaz à effet de serre ont drastiquement chuté partout en Europe ces dernières semaines. Le confinement réduirait de 58 % les émissions journalières.

Sur une période de 45 jours, cette diminution représente 5 % des émissions annuelles. Bien que le bilan soit variable selon les secteurs, il ressort que la plus forte baisse concerne les émissions des véhicules automobiles particuliers alors que logiquement les émissions liées au logement ont augmenté de 29 % (chauffage, data-centres).

Néanmoins, cette situation ponctuelle ne va pas résoudre le problème du changement climatique.

En effet, le réchauffement dépend du stock de gaz à effet de serre présent dans l’atmosphère et dans les océans, pas des émissions à un moment donné.

Or, ce stock met beaucoup de temps à se dégrader. A titre d’exemple, la Grande barrière de corail en Australie vient de connaître son pire épisode de blanchissement en raison notamment de la température de l’eau.

Par ailleurs, indépendamment des cycles naturels et sur le plan politique, le report de la COP26 qui devait se tenir à Glasgow en novembre 2020 n’est pas une bonne nouvelle. Elle devait faire le point sur les nouveaux engagements des Etats afin de respecter la trajectoire des 2 °C, voire des 1,5 °C d’augmentation de la température globale et sera reportée en 2021, retardant encore des négociations déjà très laborieuses.

De la même façon, le retard qui pourrait être pris au niveau de la mise en œuvre du Green Deal européen en raison de la priorité accordée à la lutte contre de Covid-19 et à une relance économique rapide, comme le défend en particulier la Flandre, n’est pas souhaitable. C’est ainsi que la Belgique ne signera pas l’appel initié par le Danemark et suivi par 17 Etats membres de faire du Green Deal « la feuille de route pour faire les bons choix et répondre à la crise économique tout en transformant l’Europe en une économie durable et neutre en carbone ». « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » pourrait devenir la nouvelle devise nationale…

En France, un appel a été publié par 44 hommes et femmes, politiques et intellectuels pour reconstruire un monde qui ne repose plus sur un « individualisme égoïste et concurrentiel promu par le néolibéralisme » mais qui propose « des modèles alternatifs »

A notre niveau, nous souhaiterions également entendre vos idées. N’hésitez pas à nous les envoyer.

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« Où en est la Wallonie par rapport aux objectifs de développement durable ? »

C’est le titre d’un rapport récent d’évaluation du bilan des progrès de la Wallonie vers les ODD que viennent de publier l’Institut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique (IWEPS) et la Direction de l’état environnemental du Service public de Wallonie (SPW) avec le soutien d’un comité d’experts chargé de formuler des recommandations au Gouvernement wallon sur ce bilan.

Cet article n’a pas l’ambition d’analyser tous les éléments qui sont étudiés dans le rapport mais bien de faire apparaître ceux qui nous ont semblé intéressants à porter à la connaissance de notre public syndical. Nous portons l’entière responsabilité de cette sélection[1].

Après quelques rappels sur les ODD et la raison d’être de ce rapport de l’IWEPS, nous mettrons quelques indicateurs en évidence et nous rappellerons quelques-unes des recommandations des experts pour les prochaines analyses. Enfin, une tentative d’analyse critique, non pas de ce rapport, mais du concept même de développement durable et cette question : quelles pourraient être quelques-unes des ambitions supplémentaires que devrait sans doute porter à l’avenir ce type de Programme.

ODD : qu’est-ce que c’est ?

En septembre 2015 et à l’initiative des Nations Unies, les chefs d’État et de Gouvernement de tous les pays et régions du monde – et donc aussi celui de la Wallonie – ont adopté le Programme de développement durable à l’horizon 2030 appelé aussi Programme 2030 ou encore Transformer notre monde.

Ce programme contient 169 cibles à atteindre pour 2030. Ces cibles ont été réparties en 17 thématiques ou objectifs intitulés Objectifs de Développement Durable (ODD). Les thématiques sous-tendues par ces objectifs sont multiples : la santé, l’éducation, la conservation des écosystèmes, le travail décent, les modes de production et de consommation durables, la réduction des inégalités au sein et entre les pays, …

L’ensemble fixe donc les priorités en matière de développement durable pour la prochaine décennie à l’échelle planétaire.

Les grands titres des 17 ODD sont figurés dans l’image ci-dessous[2] :

 Que contient ce rapport ?

Un premier rapport avait été adopté par le Gouvernement wallon en avril 2017 qui rendait compte des progrès réalisés par la Wallonie dans la mise en œuvre du Programme 2030 après les deux premières années.

Ce 2e rapport décrit le bilan des progrès de la Wallonie quatre ans après l’adoption du Programme 2030 (en 2015).

Soulignons tout d’abord que toutes les 169 cibles du Programme 2030 ne sont pas nécessairement pertinentes pour la Wallonie. Une sélection a donc été réalisée[3].

Ensuite, des indicateurs ont été sélectionnés pour suivre au mieux les progrès vers les cibles à atteindre. Parmi les critères de sélection des indicateurs, citons :

  • le fait qu’ils couvrent de manière équilibrée les dimensions sociale, économique, environnementale et institutionnelle du DD ;
  • le fait qu’ils puissent permettre les désagrégations par sexe, âge, classe de revenus … afin de « ne laisser personne de côté » ;
  • la garantie de pouvoir comparer aux niveaux national, européen, international ;
  • etc.

80 indicateurs sont à l’œuvre pour le suivi du Programme 2030 de la Wallonie. Ce cadre n’est pas figé : 10 nouveaux indicateurs ont été ajoutés suite au premier rapport en 2017. En fonction de leur pertinence et de leur efficacité, des modifications pourraient encore être apportées pour les prochains rapports (voir les recommandations du comité d’experts plus loin).

L’évaluation des indicateurs est réalisée en analysant la direction de leur évolution sur deux périodes, à long et court termes :

  • la période à long terme s’étend de 2000 à la dernière année où les données sont disponibles ;
  • la période à court terme va de 2010 à la dernière année disponible des données.

Considérer ces deux périodes permet de nuancer les résultats en suivant les progrès sur une période longue (16 à 18 ans) et une autre plus courte (6 à 8 ans) en évitant, pour cette période après 2010, les perturbations liées à la crise de 2008-2009. Les mêmes périodes sont considérées dans le rapport d’Eurostat (2019) ce qui permet des comparaisons avec les résultats européens.

Quatre résultats sont possibles qui expriment la tendance d’un indicateur :

On peut classer les 80 indicateurs en fonction de la composante de DD qu’ils décrivent. Ces composantes sont au nombre de quatre :

  • sociale : 36 indicateurs (45 %) ;
  • environnementale : 29 indicateurs (36,2 %) ;
  • économique : 11 indicateurs (13,8 %) ;
  • gouvernance : 4 indicateurs (5 %).

Les deux tableaux ci-dessous expriment la synthèse des progrès par composante de DD. Le premier sur le long terme (2000–2018) et le second sur le court terme (2010–2018).

Avec 36 indicateurs, c’est la composante sociale qui domine au sein de l’exercice d’évaluation poursuivi par ce rapport. Or, près de la moitié des indicateurs de cette composante sociale ont des tendances non calculables (la 4e ligne des tableaux), ce qui constitue un problème pour l’analyse (voir plus loin les recommandations du comité d’experts à ce sujet).

C’est la composante environnementale qui présente le plus d’indicateurs allant dans une direction favorable par rapport aux objectifs (13 à long terme et 9 à court terme).

La composante économique se caractérise par une évolution globalement stable ou indéterminée, surtout à court terme.

Enfin, en ce qui concerne la gouvernance, composante pour laquelle il n’y a que 4 indicateurs (5 % du total), pour 3 d’entre eux, l’évolution n’est pas calculable. Le seul indicateur pour lequel l’évolution est significative s’éloigne de l’objectif de l’ODD 17 : il s’agit de l’endettement public !

Dans les lignes qui suivent, nous allons présenter l’évolution de quelques indicateurs dans le cadre de certains ODD. Notre travail, au sein de la Cellule RISE, se focalise surtout sur les thématiques environnementales tout en cherchant à faire des liens avec les aspects sociaux. C’est sur cette base que nous avons choisi de présenter l’évolution de quelques-uns des 9 ODD qui intègrent des indicateurs de cette composante environnementale et, lorsque c’est pertinent, d’évoquer ceux qui décrivent la composante sociale.

Remarque importante : il existe rarement une cible précise au niveau wallon (et d’autant moins de cibles chiffrées). De ce fait, on ne peut rien dire de la vitesse d’évolution d’un indicateur ni si l’objectif pourra être atteint en 2030. C’est une des limites qu’ont relevées les experts dans leurs recommandations (voir plus loin). Et donc, une évolution favorable d’un indicateur ne signifie pas nécessairement que le niveau de celui-ci est satisfaisant (sa vitesse d’évolution par exemple) mais juste qu’il évolue vers l’ODD mesuré.

Le texte ci-avant est un extrait de l'analyse effectuée par la Cellule RISE.

 

[1]  Le rapport complet est téléchargeable sur le portail de la Wallonie.   [Retour au texte]

[2]  Toutes les illustrations, graphiques et tableaux repris dans cet article sont issus du rapport « Où en est la Wallonie par rapport aux objectifs de développement durable ? ».   [Retour au texte]

[3]  Pour l’ODD 14 (Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable), une seule des sept cibles a été conservée du fait de la géographie de la Wallonie qui n’est pas en contact physique avec les océans (voir plus loin, l’analyse de l’ODD 14).  [Retour au texte]

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La Cellule RISE

Le projet RISE (Réseau Intersyndical de Sensibilisation à l'Environnement) a vu le jour en 1996. Soutenu par la Région wallonne, il rassemble la FGTB et la CSC autour de plusieurs objectifs :

  • sensibiliser les travailleurs et leurs représentants à l'environnement ;
  • stimuler la concertation sociale en environnement dans les entreprises ;
  • renforcer la capacité d'intervention des délégués sur les questions environnementales.

RISE vous propose différents outils pour vous aider dans vos actions :

  • des formations sur l'environnement ;
  • un service d'aide auquel adresser vos questions ;
  • un appui sur le terrain ;
  • un site web: https://www.rise.be ;
  • des brochures sur différents sujets relatifs à l'environnement (téléchargeables sur le site) ;
  • une lettre d'information semestrielle.

     Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter    

Cellule RISE du CEPAG
Rue Haute 42 - 1000 Bruxelles

  • Conseillers : Lydie Gaudier, Evelyne Jadoul, Jean-Luc Dossin
  • Secrétariat : Daniel Wojtalik
  • Contact : 02 506 83 96 - cepag@rise.be
  • Site Web : https://www.rise.be

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 MOBILITE

La Cellule Mobilité

La Cellule Mobilité du CEPAG poursuit trois objectifs principaux :

  • stimuler la concertation sociale en matière de mobilité dans les entreprises ;
  • renforcer la capacité d'intervention des délégués syndicaux sur ces questions ;
  • informer et sensibiliser les travailleurs et leurs représentants aux problématiques liées à la mobilité.

Le travail de la Cellule Mobilité s'organise sur 3 axes principaux :

  • axe 1 - Formation et sensibilisation : des formations, des séances de sensibilisation, la participation aux congrès syndicaux, colloques et événements particuliers (par exemple: la semaine de Mobilité) ;
  • axe 2 - Expériences-pilotes : des actions sur le terrain sous la forme d'expériences-pilotes dans différentes entreprises ;
  • axe 3 - Appui technique aux délégués : brochures, une newsletter électronique, un site Internet, un service d'aide.

     Pour toute information, n'hésitez pas à nous contacter    

Cellule Mobilité du CEPAG
Rue Haute 42 - 1000 Bruxelles

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